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Le bon chemin Pour sa seconde pièce, Xavier Daugreilh, qui avait connu un vif succès avec "Accalmies passagères", retrouve cette légèreté de ton qui fait tout le charme de son écriture. Il est du côté de ces auteurs anglais tel James Saunders sachant imprimer poésie et humour au réalisme. Et qui pose une question: qu'est-ce qu'aimer? CRITIQUE Cette pièce est comme un nuage pommelé qui annonce un orage très vite dissipé par le soleil. La mise en scène de Stephan Meldegg s'applique avec simplicité à donner chair à
tous les personnages, à nous les rendre attachants. Il suffit d'une toile peinte qui se déroule pour passer de la Chine au Lubéron. Belle illusion théâtrale. Les comédiens sont au diapason de cette poésie douce-amère. En particulier Bernard Verley, qui, en nounours(et nounou) mal léché, ferait fondre la plus récalcitrante célibataire. |
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